HISTOIRES CROUSTILLANTES
- HISTOIRE EXTRATERRESTRE D'UN T8 en mode WHATtheFUCK :
Quand tout part en tragédie comique.
A chaque projet, correspond ces moments de solitudes extrêmes, presque par défaut. Ce qui fait un bon projet c'est l'habileté à passer outre ces dures moments de doutes, seul à la barre, avec ces montages à risques. Bref…
j'ai aguerris un lieu de bureaux Industriel exceptionnel de 1200m2 à l'abandon et vandaliser depuis 13 ans, pour le prix d'un bon carrelage.
Voila le lieu apres 10ans de travaux www.providence.be
Nous sommes en 2014, date à laquelle je reçois les clefs. Il n'y a pas d'eau, ni d'électricité, ni toilettes, tout a été volé, c'est Casco, tout a refaire a l'identique mais à la mode T8. Je vais commencer pièce par pièce et sans domicile fixe, c'est officiel !
Je me suis mis une tente super douillette dans un petit bureau, aménagé, sans eau. Chauffage au pétrole, eau en bouteille de 5 litres, douches à la piscine communale, et pour les toilettes... certains soirs, je l'avouerai, je pise par les fenêtres, j'ai le choix entres 214 fenêtres, et je chie dans le terrain vague en face du bâtiment. Remarque, au fond j'adore ces passages de vie. Toujours en salopette, j'ère d'étages en étages, dans le noir, tel un fantôme, j'arrive a faire peur aux vrais fantômes c'est sure !
Il gèle dehors, super emmitouflé dans ma belle salopette à capuche , je décide à minuit, d'aller faire une expédition dans le terrain vague en face, et ça urge sérieusement. il est temps. d'organiser l'expédition avec scotex, dans ce putain de froid.
je dévales les 4 étages, dans le noir total, sort du bâtiment, et traverse la rue, pour me rendre dans les lieux de salvation. Je me rends compte de l'absurdité de la situation.. Mais qu'est-ce que je fou là? Dans ce putain de froid ! - Au plus je me vois déboutonner ma salopette à capuche dans ces lieux , au plus je me dis que je suis complètement à la masse, et que c'est de la folie, je suis seul et personne ne viendra m'aider...!!
- Aujourd'hui je reçois le pompon des gagnants, le Grand Prix Universalis Européen des Entreprises.... Youpi !
Bref ça va vite , très vite, trop vite.. hahaha le mouvement doit être constant pas le temps de rester le cul à l'air. Donc je retire ma capuche, je déboutonne, et en position du Koala, je parachute mon coli fertile. Putain de froid.. vite vite... je reprend rapidement ma position virile de chasseur, avec mes "putains de froid" qui fusent. ça va vite ... trop vite... je remet ma salopette, vite vite, me reboutonne et je me re capuche aussi vite. Top vite sans doutes.
- Il fait très froid, trop froid, c'est extrême. Là, je sens une matière chaude dans ma capuche... La plus grande des solitude de toutes vies dans l'univers m'envahis.
Seul dans la nuit, au bout du monde, avec ma merde sur la tète, j'ai fini par complètement oublier le froid.
Moralité : il vaux mieux avoir de la merde sur la tête que dans la tête, pour ce sentir vivant. hehehe Pardon!
Je vous dédies à tous, ce vrai moment magique, d'humour, d'humilité et de courage.
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- 12/12/2022 courrier : A la ville de Charleroi (extraits)
Bonjour à tous, je me lance et je n’irais pas par 3 montagnes.
- Bien malgré moi, je ne laisse personne indifférent. Ici par aprioris, tout le monde me connaît et je ne connais personne. Certains m'adorent et d'autres me haïssent, c’est le paradoxe de mon entreprise qui se veut être précise et inaliénable, et ceci afin de garder toutes les saveurs intactes d’un projet expérimental, hors du commun. Voir d’une institution franchissable unique.
Je me nomme Serge Vizcaino Enchanté, Directeur/Fondateur de l'asbl (voir: www.providence.be) Une cellule de déformation et de soutien aux créateurs de tout horizon. - En vrai : Fils d’ouvrier des beaux quartiers, professionnellement je suis créateur industriel, concepteur et artiste pluridisciplinaire. J’ai reçu, pour 25 années d'expériences internationales, 5 titres honorifiques de professeurs dans diverses disciplines du supérieur artistique. J'ai plusieurs patentes internationales à mon actif. On m'enseigne dans les universités en architecture (Barcelone, Paris, Bruxelles..) j'ai été médaillé d'argent au salon des inventions de Bruxelles, invité à faire les plus prestigieuses foires de design de par le monde dont, le Salon Satellite de Milan, pour ceux qui savent ce que c'est. J'ai reçu plusieurs Prix en peinture des plus importants de Belgique, (Prix Médiatine, Cocof, Louis Schmit) comme en design. (Bref.. voir mon CV si cela vous intéresse.)
Tout ceci montre que je ne suis pas venu ici pour rigoler, ni pour planter de la marijuana, ni pour vous faire une permanente, bien que j'aime voir, avec humour, ce moment où vous souriez et lâchez prise, avec les regards qui plissent et qui mouillent. - Remarque : Tous les regards curieux s’ouvrent avec moi, je le sais, c’est toujours comme ça à la fin. C’est de la passion. Passez ici pour le sentir, vous êtes tous invités à prendre un café avec moi, quand vous voulez. - Bien, mais je m'éloigne, désolé, j’imagine que cela a son importance quand à la dynamique de nos actes. - Brefff, Ici, ma démarche est très précise, elle s'inscrit dans la continuité d'un travail d’expérience très élaboré de “Déformation”, système qui réinitialise la créativité, par effacements des artifices. C’est un retour au point zéro+ toutes disciplines, que je partage avec passion à qui veut l'activer et vivre une quête de sens hors du commun, dans un lieu hors normes, de qualité, de partage, libre et bienveillant. Bienvenue à vous tous.
Des chiffres : En 18 mois d’ouverture, j’ai parrainé une vingtaine d’artistes, quelques locaux et beaucoup d’internationaux. - J’ai accueillis plus de 1000 personnes au total dont ⅓ sont des artistes de passage, qui cherchent une résidence d’artiste et qui viennent pour créer et travailler sur place ou dans les environs. Un autre ⅓ sont des touristes détournés du circuit classique, (Brugge, Anvers, etc..) attirer par la curiosité du lieu, ma personne et l’environnement direct, Urbex, horreur et beauté soyons franc. - Puis le dernier 1/3 ce sont les satellites qui passent pour affaires ou autres et veulent se changer les idées. Ils permettent de subventionner le lieu au plus haut taux. - Remarque importante : Ici ce sont ceux qui viennent sans projet qui paient et soutiennent ceux qui en ont, et la boucle est bouclée. Super autonomie.
Puis le covid est arrivé, et maintenant les prix de l’énergie....
- AVIS AUX ÉCHEVINS ET RESPONSABLES DE LA VILLE DE CHARLEROI.
Mesdames et Messieurs,
je m'aperçois que beaucoup de sentiments personnels prennent la priorité sur les fonctions que vous représentez et qui sont de vos responsabilités professionnelles de soutien. Certains pourraient dire que cela s'apparente à une forme de racisme “tu n’es pas de ma tribu, donc… silence à tous les étages”. je n’existe pas. Pour ma part, je n'ai reçu aucune aide, ni retour, ni bienveillance de vous et de vos assistants depuis 7 ans. Pire, vous vous êtes battus pour ne pas nous venir en aide, tant au CPAS qu' à la Culture, parole du Grand Manitou. Là, je suis encore sous le choc de 2 ans de confinement, avec rien dans mon frigo. et 0€ sur tous les comptes, sans aucune aide, et ce malgré tous mes appels à l’aide. Et bien? Si vous voulez détruire le secteur vous n'aurez pas agi autrement. J’ai presque honte d'être là, cela est très regrettable et j’espère de tout coeur que cela sera rectifié dans le futur (si il y a un). En réalité, c’est de vos responsabilités (et par mandat rémunéré en plus?! nom de dieu !) - Entretenir, voire cautionner directement ou indirectement la misère, n’est pas une solution à long terme. Personnellement j’essaye de travailler un échelon plus bas, pour changer les bases sans sparadraps ; comprenne qui pourra.
Breff : - Comme vous le constatez, et avec un courage sans limites, qui m'étonne moi même, j'avance toujours, je boite, je maigris, mais j’avance et je trouve des solutions. Nous n’avons pas le choix, et je maintiens que c’est primordial pour l'âme et l’esprit. A y réfléchir, tout ceci est une véritable aubaine pour la ville. Après, si vous ne voulez rien voir, ni savoir, c’est de la mauvaise foi ; voir de la malveillance et vous n'êtes pas là pour ça. Vous devez soutenir par obligation ces types de projet privé qui donnent une dimension internationale à la ville, et promotionnent la culture des idées. Tous les électeurs de tous les partis confondus votent pour celà, il me semble. C’est le pilier nécessaire, indiscutable, d’une bonne santé mentale de notre société, et ceci afin d’entrevoir un avenir meilleur.
- Donc Messieurs et Mesdames, actuellement, nous sommes confrontés au devoir de paiement de 2 ans de confinement (taxes, PI, assurances, énergies et autres..), avec aucune rentrée, ni aide covid. Soit plus de 34.000€ qui ne nous ont pas été supprimés, bien au contraire. ce qui triple nos besoins cette année. C’est simplement intenable, voir pas possible. - En plus, et de surcroît nous devons faire face à une hausse indécente des prix énergétiques. Je vous rappelle que contrairement a vous tous, je ne suis pas salarié je n’ai donc aucune ressource propre, si ce n’est 500€ de loyer pour le lieu, et en temps normal. Autant dire que je ne suis donc pas payé du tout, pour tout ce que je fais !!! vraiment !!! et vous n'imaginez pas tout ce que je fais “seul”, réfléchissez. Vous devriez avoir honte de me traiter de la sorte. Toutes mes rentrées partent dans l’association, c’est une vraie ASBL. avec un sens du devoir et d'honnêteté, sans vacances.
Ok - Vous allez me dire qu’ai-je à gagner dans tout ceci ?? ou est l’entourloupe? -Et bien il n’y en a pas, je profite également de cette structure pour réaliser mes propres recherches et créations.. ça vaut tout l’or du monde, et je ne vais pas me gêner .. promis!
Donc, il serait adéquat que la ville nous soutienne plus explicitement et se penche également sur un possible abattement de notre PI qui est de 7000€ par an?? une totale absurdité, qui mine toutes activités associative ou commerciale. Je vous attend pour le café, mon tel : 0484936611
- Merci pour vos lectures, vos réponses et vos soutiens.
Bien à vous
Serge Vizcaino Enchanté
- 22/10/2015 courrier : A l'urbanisme, ville de Charleroi
Extraits
Bonjour Monsieur Frédéric Fraiture,
J'ai reçu vos coordonnées par monsieur Pascale Verhulst, concernant un problème d'affectation de bâtiment industriel rue de la Providence 134 à 6030 Charleroi (Marchiennes-au-pont.
Voila, Je suis en passe d’acheter les 4 dernier étages pour y faire des ateliers pour artistes plasticien, et ainsi soutenir une activité qui me tien a cœur, mais on me dis que ce n’est pas possible, qu'il me faut une dérogation et que ce n’est pas sur de l'obtenir...?
Je suis persuadé que dans la mesure ou il serait convenant de trouver des investisseurs pour la Ville de Charleroi, cette problématique ne devrait pas exister, ou du moins, être assouplie...puisque c'est des ateliers de travail et je veux développer des activités créatives, voire industrielle par l’édition de certaine créations.
D’autre part Je voudrais également y mettre un petit appartement pour une meilleure gestion du lieu et des 25 ateliers (comme une conciergerie mais uniquement pour les 4 étages du haut soit au total 2000 m².
Je ne peux pas acheter tout le bâtiment qui reste à la vente, uniquement pour les deux étages restant, Rez et premier. Donc pouvez-vous me dire si cela est un problème pour avoir une autre dérogation.
Bien…si vous pouviez me soutenir et en même temps aidé les activités d’un secteur en besoin, nous vous en serions éternellement reconnaissants.
Dans l’attende d'avoir rapidement de vos nouvelles.
Je vous souhaite une belle journée
Bien à vous
Serge Vizcaino Enchante,
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REPONSE : PAS DE REPONSE
HISTOIRE EXTRA TERRESTRE D'UN T8 sans casque.
En 2001 : Pour cette peinture intitulée “Kilos d’anges” une de mes œuvre monumentale majeure de 3mx2m. trop grande pour entreposer chez moi, et que j’ai accrochée sans autorisation et sans prévenir personne, à ULB, dans le bâtiment principal de l’Université Libre de Bruxelles, à l'entre étage de l'escalier principal, liant les 2 grands halls principaux. Sur le mur clé, et tout aussi principal. hehehe.
Pour ce beau coup, après avoir repéré les lieux, lors d’un colloque sur les paradis fiscaux, ça ne s’invente pas. Je suis retourné, toujours en pirate, pour accrocher l'œuvre avec une échelle, à 8 m de haut. Un truc de taré. Toute une expédition avec mon ami Benoit L, au nez et à la barbe de tous. Comme si j'étais de la maison.
Cette œuvre avait trouvé sa place, son encadré, comme je l’appel, et elle était en parfaite équation avec le lieu. Je suis reparti sans laisser de mot. Pour moi une œuvre c’est 51% l'idée et 49% l’encadré, pour atteindre une perfection et ici nous avions déjà 99%. Pour le 1%, qu’on verrait plus tard.
4 mois après , sans réaction, je suis revenu pour reprendre le tableau, pour une exposition de 20 jours ailleurs. Après, je suis revenu à l’ULB la ré accrocher .. comme un gros lourd, rien a foutre de rien, et toujours comme à la maison. Je vous rappelle que c’est le lieu d'accueil principal d’une des plus grandes universités de Belgique, là où se déroulent les colloques de prestiges.
- D'ailleurs, situation cocasse : Le jour de mon ré-accrochage, une dame est venue me voir pour me dire qu'elle était fâchée car elle avait loué les salles pour un colloque, parce qu’elle adorait le tableau et que lors du colloque le tableau n'était pas là. Évidemment c’est un problème.. Sauf qui peut.. Je prends mon accent espagnol, car la soumission, ça marche mieux avec un accent, et au fond nous sommes tous un peu racistes. Je lui dis : - Younes riene à voar… Qué tut ch’est automatishé ave le systèm y que chi elle voy, il foy allei réclamar chez los responsables du la univerchité ! - Là, désespérée elle s’ens va, comme pour dire, laisse tomber, je veux pas avoir affaire à d'autres débiles plus haut… Hahaha.. - Pardon, c’est pas gentil pour les autres.
Bien : Comme je disais chaque chose a sa place, il suffit de l'assumer et d'avancer vers le point voulu, sans dévier. Pour le reste, c’est providence.
6 mois après, je décide d'écrire au recteur général de l’université, Monsieur Robert Tollet, pour lui annoncer mes nouvelles intentions et lui mettre la pression. Car il est évident que cette œuvre ne va pas, ou plus, autre part. - Donc je lui écris et lui parle d’une œuvre monumentale pirate au sain de son institution, dans le bâtiment principal. D’une œuvre majeure que je dois retirer, mais que s' ils veulent, ils peuvent l’acheter : je donne mon prix, et j’y ajoute de la pommade de type ; Le pourquoi, Le comment, de sa place, du sujet et des sciences humaines, bref de la bonne pommade. - Et je l’envoi.!
Le jour suivant, en fin de journée, le téléphone sonne.. Bonjour Robert Tollet à l'appareil Recteur Général de l’ULB. je voudrais parler à Serge V SVP : - Heuuu je lui dis que c’est moi, lui retourne son Bonjour. - Là il commence à m'engueuler grave, il me dit que c’est pas normal, que l’ULB n’est pas un moulin, que je suis complètement inconscient, qu’ils ne savaient même pas lire la signature, ni d'où ça venait.. Et pui ; que l'œuvre apparait, puis disparait, puis réapparait, que c'était une véritable foire, hors de contrôle, et patati et patata .
- Ok ok, je lui réponds : que si c'était vraiment un problème que j'étais prêt et que dans une demi-heure, le tableau partirait définitivement. et que je m'excuse d’avoir semé la confusion, mais pour le coup, que je trouvais la situation osée et chouette et que cette œuvre avait trouvé son mur et que finalement, ça n'avait créé aucun dégât.
Donc que si c'était leurs choix, ok, que j’allais la retirer !.
- Là, il me reprend : Ah oui okéé.. je vois! Il me dit qu'il imagine bien le genre de type que je suis et à quel personnage il a affaire. Que je suis exactement le type a tout faire à l'envers et sans la moindre inhibition et tout et tout. (Je sens qu’il y a de l’ironie) - Je lui repond que je ne comprend pas bien. mais si on y pense, ça semble être des bonnes idées aussi. - Il rigole et complètement adouci : me dit, après 3 respirations : Ecoutez. j’adore, nous l’adorons tous ici, et sachez que nous l'achetons sans discuter, et que je passe demain matin dans son bureau, pour conclure.
- iiippppaaaaaa !!
Petit déjeuner de rue, j’y vais, je sonne, je rentre, tous les bureaux sont en émois ça se sent, ca m'arrive souvent. Les secrétaires montrent leurs têtes de par toutes les portes du long couloir. Elles me sourient toutes comme pour dire enfin on voit le spécial, le mystérieux, celui dont on parle depuis des mois. On entend des petits rires partout, l'ambiance est guillerette. Au fond, en face, c’est le bureau du grand Robert. Ouvert, il sort en disant que j'étais un sacré numéro. Il parle à ces secrétaires en même temps. Voila enfin le responsable… mais que dire de plus..? et bien rien, nous n’avons simplement pas eu grand chose a dire et encore moins le choix. Vous êtes un sacré phénomène et avez été, sachez le, un mystère récurrent ici, félicitation. Je signe un acte de vente et il me tend une enveloppe avec du cash, et au moment où je vais pour la prendre, il la reprend.. et me dit… “ella papillon”, C’est une expression belge qui veut dire “attend un peu mon ami”. Il regarde sa secrétaire et dit : "Comment peut t’on être sure que vous ne reviendrez pas, après, reprendre votre tableau?.. J’avoue que vue la situation c'était assez pertinent.. hehehe - Rien n’est sûr, ni vrai dans ce monde, mais pour le coup, qu’il avait ma parole, et que je viendrais la fixer définitivement. - Pas la peine, on s'en occupe. Voici dans l'enveloppe le 1% qu’il vous manquait. - Olééé
Voilà comment je vois les moteurs possibles pour chaque chose. C’est simple. c’est 100%. Tout repose sur l'équilibre du raisonnement. Le par défaut.
HISTOIRE EXTRA TERRESTRE D'UN T8 sans frein.
cu3us Salone Satellite MILAN
En 2003, j'ai été invité à exposer en solo à la plus grande Foire du Monde de Design , "au Salone Satellite" à Milan pour être là, c'est pas de la tartuffe. C'est Là Mec.. et en deux heures!!!! - Mais comment fait t'il?, Il à l'ère si débile !! - Et pourtant.. , je l'aurais pas volé celle-là.
Nous sommes en février à Milan, je loge chez mes amis Frédéric et Carlotta. En cette heure, Fred architecte est chef de projet chez Stefano Boeri, -"El Bosque vertical" "la tour végétale de Milan, très connue, en vrai...c'est de Frédéric Desmet ! - Bref nous sommes dans les bureaux de Stefano avec toute son équipe, il est 11h du mat. On discute de tout, et de la foire qui commence bientôt. Et je me rappelle avoir un flash, et dire “en rigolant”, en sortant un mini prototype cu3us de mon sac : Que je présenterais bien ceci à la foire qui s’ouvre dans 2 mois… - La ils pètent tous de rire , hahahahaha hahaha (je perd directement 30 points en crédibilité), ils se marrent, en me disant qu'il faut 3 ans minimum de préparation et passer par 2 jurys internationaux.!!! que c'était la plus importante foire du monde. Que tout le monde rêve d'y aller!!! et que c'est pas pour n'importe qui. L’un d'eux me dit qu'il a essayé il y a quelques années et que ce n'était pas la peine, c'était top level, et que pour dans 2 mois en plus.. hahahah que j'étais un super petit comique voir, un pignolo di tartufa, va.. etc…
- HHaaaaaaa BOOONN ! sérieux!!.
-Je leurs fait remarqué, que en fait, c’est super stupide comme règles car si quelque chose de génial venait a passer, que cela m'étonnerais qu’il attendent 3 ans. que ça n'avait pas de sens, ni de base, ni de fond. - Du coup c’est exactement le type de défi que j’aime relevé. Presque piqué au vif, je suis parti, leur disant que j'allais dans le quartier de la foire pour me promener... ! sous entendu. ! ils ont rigolé, me prenant pour un gentil taré... j'ai l’habitude et j’aime aussi cela…!
Bien, comme par hasard je me retrouve devant la porte des bureaux de la foire... "Fuoro Bonaparte". La grande porte est ouverte, je rentre dans un grand hall, en face, il y a un long comptoir avec une secrétaire. Une dame est assise dans la salle d’attente, plus loin.
La, j’explique mon souhait, et mon intention d’exposer à la foire dans 2 mois.
Avec la manière qui m'est propre, celle des grands jours, Humour, Tendresse, Respect et Pertinence, - Évidemment, comme mes amis architectes, elle se met a rigoler et me prend pour un extraterrestre. Elle me dit que je dois envoyer mon projet par mail, et que ça dure 3 ans de préparation et que ça doit passer par 2 commissions . Je lui dis que c’est débile comme règle que ce n’est pas pertinent ni logique, que si un truc génial passait qu' ils seraient bien idiots de perdre 3 ans et prendre le risque de passer à côté. Que c’est vraiment dommage. Mais bon rien n'y fait, elle ne peut rien faire. - Bien saluant la secrétaire, je me dirige vers la sortie, pour quitter les lieux et :
Oups, monsieur monsieur, je me fait harponner par la dame assise dans la salle d’attente, qui se lève, elle a suivi la discussion. Elle me demande pourquoi je pensais pouvoir participer à la foire, et qu'elle trouvait incroyable et comique ma façon d'agir, hors règles, et que ca l’'intriguait. - Je lui montre mon prototype cu3us dans sa belle boite, lui explique le concept, que cela crée 7 produits différent sur 3 marchées dont 2 grandes distributions minimum, il n'y a pas mieux, et lui répète que ces règles sont idiotes et que c’est dommage. Elle me regarde en tendant la main et me dit en Espagnol (puisque je parle l'itagnol et mon anglais est basique) : - Bonjour, je suis Marva Griving la Directrice Générale de la Foire. - Oh boy c’est "La madame" que je dois voir justement. - Puis, comme pour couper court, elle me sort cette fameuse phrase " qu'il faut 3 ans de préparation et passer par deux commissions" et qu'elle ne peut rien faire contre.. - Ooups! - Bien je ne me démonte pas, car c'est l'heure,!!! et je suis au rendez-vous.
- On continue à discuter en espagnol avec passion et humour. Elle sort le cu3us de sa boite....- C’est bon signe...et commence à le manipuler....elle me dit que c'est dommage, que c'est vraiment chouette... mais!!! Elle seule ne peut rien faire. - Pas grave je comprends, mais, je lui fais remarquer que le train est en gare et que je ne sais pas où je serai dans 3 ans. Bien, on continue à discuter, je la fait complètement se détendre et rigoler, je suis en forme. Elle bataille avec sa conscience. Puis elle me dit qu'elle pourrait peut être me faire passer dans une commission spéciale, pour l'année prochaine dans 1 ans.. je lui dis que même dans un an c’est trop loin, que le train est là, et que je serais peut être mort dans 1 ans.. hehehe Bien, on continue, j’explique l'évidence, et elles sont toutes les 2 hypnotisées par l'idée et le personnage que j’assume... trop drôle... je relance.. tikitiki takataka.. Les hihihi fusent c’est magique. Et puis.. d'un coup, elle me dit qu'après tout que c'était la directrice et qu'elle n'avais jamais fait d’exception depuis 18 ans.. - Bien bien.. Tuuut, tuuut, je fais le son du train en gare, hehehe, je sens que l'on devient complice, ces yeux pétillent. Quelques minutes après elle me dit : Ok ok stop!
- Bien, vous êtes incroyable, je vous adore et en tant que directrice je vais prendre une décision que je n’ai jamais prise auparavant. Mais tout d'abord, êtes vous prêt pour exposer dans 2 mois? Je lui signifie que bien sûr. En vrai, la seule chose que j’avais c'était ce qu'elle avait en main, c’est a dire rien, un cu3us dans une boite de 6cmx6cm.
- Bien, elle relance, bon, je prends la décision personnelle de vous offrir gratuitement un stand de 60m2, à condition que vous fassiez en plus le stand pour la presse… - Pardon mais c’est un "double cadeau". - Vous devrez juste vous acquitter des frais techniques. je vous envois les documents demain matin. J'aperçois la secrétaire derrière, au comptoir, qui suit la conversation de loin, qui lève les bras et les 2 pouces.. trop contente, comme pour dire incroyable!!!
Du coup : c’est vachement flippant, car au matin j’avais pas pensé faire la plus importante foire du monde. Tout est parti d’une blague qui a mal tourné. Quelle folie. et j’ai de la matière. Je ne vais pas être ridicule. Après ma joi, et de retour à la réalité, je suis rentré en tram, déjà concentré sur ce que je devais faire, maintenant que j’avais fait tout ce cinéma! - Arrivé dans la voiture de Fred qui sortait du bureau, et avant toute discussion, sans lui dire le pourquoi du comment. Je lui demande s'il pourrait me loger dans deux mois pendant une semaine, et que je serais surement accompagné par deux personnes...il n'a pas compris!!, puis je lui ai expliqué l’histoire avec Marva. -Il ne m'a pas cru...!!! et il a mis du temps, même le jour suivant avec la confirmation officielle !! Sérieusement?!! Après on a bien rigolé ! Que du dingue.
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La suite... c'est moi "le petit comique qui débarque à Milan, 2 mois après, avec un camion full matériaux et deux assistants, mon fidèle assistant technique Benoit L et une commerciale, - On dort chez mes amis. Je viens de passer deux mois de folie pour être prêt, et je suis prêt. mais problème.
A l'arrivée, j’ai 3.175€ en poche, et aucune carte de banque. Nous nous rendons sur le site de la foire. - Là on m’oblige à payer la partie technique, chose que dans mon empressement j'avais imaginé pouvoir payer après. Du coup j’ai pas le choix, c’est combien? - c’est 3000€ Monsieur.
Caramba, Catastrophe.. Je les paye sinon tout s'arrête ici, et je ne dis rien à personne.
- Je suis sous le choc de la réalité qui apparaît crûment. Nous ne pouvons plus rentrer en Belgique.. iiiipppppaaaaaa et me voila avec 175€ en poche.. et le pire va arriver. La couleur du tapis. opopopo - il me restera 25€ en poche le jour de l'ouverture. Avec cette fameuse réunion du matin, au petit déjeuner ou sans avoir beaucoup dormi, j’ai annoncé à tout le monde qu'il ne me restait que 25€ en poche, que l'on ne savais pas rentré et que je pouvais pas nous nourrir pendant ces 5 jours...que j'avais exagéré et que j'avais été jusque au bout d'un rêve... Le comble, c’est qu’ils m'ont tous vu, le jours avant, acheter un tapis à 150€ sur la foire parce que la couleur ne correspondait pas!!!! ben oui je suis pas venus jusqu' ici pour être sur un tapis qui n'est pas de la bonne couleur.! Désolé.
- Heureusement que je suis pas marier parce que ma femme m'aurait tué!!... Comment expliquer... heu, bon, voila ; il n'y a que deux solutions. 1: en me traitant de tout les noms, ils achètent un billet d'avion pour Bruxelles en me laissant seul, ici, dans ma merde... Ticket que je m'engage à rembourser par la suite. Ou, solution 2 : On va dans cette putain de Foire et on casses la baraque et nous allons tous jusqu' au bout de cette putain d’aventure. OUPS Là, la commerciale change de couleur, elle clignote, c’est mauvais signe Oups... ca passe au rouge, elle craque en disant que je lui avais promis 400euro pour la foire et qu’elle n’avais pas d’argent, puis elle se met à pleurer, hors contrôle. - Ola, pour calmer la situation, notre hôte va dans son portefeuille, en sort 400€ et lui donne, en me disant a moi que ces 400euro son “cadeau”, et que c’est juste pour voir comment toute cette histoire de taré allait finir. hahahah. - Avec plaisir, amigo, dans deux heures on sera fixés.
La suite? 10 minutes après l’ouverture de la foire, nous savions tous que nous étions sauvés. et même au-delà. - J’avais mis en place avec mon technicien un atelier dans le camion pour mettre en boîte les cu3us coupés. Et toutes les 4 heures il venait du parking, par les couloirs de l'autre bout de la foire, avec un énorme plateau, contenant un tas de plus de 250 mini cu3us multicolors. il y avait déjà plein de monde derrière lui, qui créait une file automatique. Nous sommes le seul stand de la foire avec une file devant. hahahaha trop drôle.
Le comble c’est que c’est une foire où l'on ne peut pas vendre, c’est pour trouver des éditeurs. Marva arrive en courant à la vue du remue-ménage sur mon stand et me dit que je ne peux pas vendre. - Je lui dis ok mais alors que nous avons un problème : on ne sait pas rentré, ni manger et que j’ai tout mis ici, que j’ai plus d’argent et que par sa faute, nous devons rester ici pour toujours. En rigolant. On s’aime, je le sais, mais de là à me voir tous les jours au travail c’est trop pour elle hahaha. - Mmm Elle me dit, tout bas, OK alors, discrèto. !
Difficile de faire discret, les fils se font et se défont aux rythmes des plateaux qui arrivent .
Tout part, tout le monde veut son mini cu3us a 11€. c’est la folie.
La vie sourit aux audacieux C’est ma deuxième leçon !
HISTOIRES EXTRA TERRESTRE D'UN T8 a la dérive.
FABIOLA ™ Compottes
La Reine Fabiola a présenté une pomme en réponse à une menace d’assasinat le 21 juillet 2009. Elle a offert la Pomme, les droits et la Marque au Relais des Pompiers du Théâtre National de Belgique.
Puis aller dans une grande surface acheter des pots de compote à 50 cents, les tuners a l’image de FABIOLA ™ et en vendre 3 à 150€ pièce, deux heures après dans les couloirs d'une foire d'art contemporain. Cela devient presque de l’art suprême, signés et numérotés... a des prix défiant toute concurrence... hahaha c'est vraiment comique... le comble c'est que je n'arnaque personne, que les gens qui mon acheter ces pots, ne les ont pas acquis pour les manger. Ils participent à l'histoire, car j'y met la forme, une histoire extraordinaire, du début à la fin, et les gens aiment les belles histoires complètes. L'encre et la peinture sont deux médiums techniques qui doivent servir l’idée et l'élévation de ces histoires, pas le contraire. En vrai on s'en fout de la matière pour la matière, ou de la technologie pour la technologie. Ne devons-nous pas simplement quelque chose à quelqu'un ?
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GRENADE FECONDE
Quelque temps après en 2011 : Avec mes super badges réalistes, d’une "GRENADE" sur de la dentelle. Objet semi noble, symbole de la fécondité à travers les âges, que j’ai créé et produit, puis que je vendais à 5€ pièce en dessous du manteau, (au propre comme au figuré), aux terrasses des cafés des Puces à Bruxelles. - J'ouvrais celui-ci en laissant apparaître, accrocher dans la doublure, les "Grenades" puis j’annonçais que s' ils n'achètent pas, que je me ferais exploser devant eux, est que je n’en n’avais plus rien a foutre. hahaha. Du vrai Théâtre de rue, en 1 heure de clowneries sans effort, j'avais 100€ en poche. hehehe - C’était, il n'y a pas si longtemps… Cela s’appelle sortir pour prendre un verre et manger, puis revenir repu, avec plus d’argent.
HISTOIRE EXTRATERRESTRE D'UN T8, à cheval et sans plumes
Histoire vraie en 3 actes.
Acte 1 : La genèse : . Le T8, La plante, La promesse et les 10euros..
Acte 2 : La Matrice ; DEUSxMACHINA, le business plan et le comptable.
Acte 3 : A la recherche D'ELON MUSK
1. "La genèse !"
Nous sommes en mars 2019 en Belgique. Par paresse, je me rend dans un grand magasin. Il est midi, et à l'entrée il y a des plantes. Là, je vois une vendeuse qui jette dans une poubelle, une magnifique plante dans son pot en plastique "nickel".
Je m’étonne et lui demande pourquoi elle fait ça. Elle me répond que c'est parce que le pot décoratif "en terre" était cassé... et qu'ils ont comme ordre de jeter la plante. Je lui fais remarquer qu'ils vendent une plante avant tout et que c'est vivant ! Elle me regarde, étonnée et béate, et me dit qu'il n'y a rien à faire, que c'est « poubelle ».
— Oh boy ! C'est quoi le truc ?
— Heu... Donc, je lui propose de sauver la plante et les plantes à venir... !?
Elle me répond, avec la responsable qui arrive entre-temps, que ce n’est pas possible, et même l'achat avec une réduction du prix. Elles ne peuvent tout simplement pas vendre la plante et elles sont obligées de la jeter.
— Je veux voir un responsable !
Elles me disent que le gérant n'est pas là.
Oké, ben là... quand même... je rentre dans un état de contrariété avancé. Je n'arrive plus à faire mes courses, je reste comme hypnotisé par le problème... Poubelle sans recours ?... Je mâchouille, je rumine... c'est mauvais signe...
— Putain !!! On ne jette pas des plantes à la poubelle parce que le pot décoratif est cassé ! C'est vivant, bordel de cul !!! C'est moi qui suis débile ou quoi ?!!! Sans compter que si les plantes n'existaient pas… vous ne seriez pas là !!! Vous insultez les primates ! Quel manque de gratitude et quelle preuve d'aliénation humaine totale vous faites ! Mais pourquoi ces connards sont-ils plus nombreux ? Et que ce n'est pas possible d'être aussi c ! Et tiki-tiki et tikitaka, tout ça dans ma tête !!!
À ceux qui trouvent que je suis débile, je vous dis : vous êtes des inepties, et je veux bien prendre 10 minutes pour vous l'expliquer, tellement c'est basique. Bref... Quoique, perdre 10 minutes pour vous, c’est trop... allez vous faire écarteller par des Zoulous Canibals.
J'arrive à la caisse, la charrette vide, et la tête pleine. Et « oh boy », bonheur, - j'interpelle le gérant qui rentre dans le magasin. Propre, élégant, cravate, petit badge... Je lui fais part de mon étonnement. Il me répète que ça vient d'en haut, qu'il ne peut rien faire, que la plante est à la poubelle à cause du pot cassé et que ça rentre dans les pertes.
Excédé, je lui demande s'il n'a pas de libre arbitre, s'ils ne se sentiraient pas plus importants et grandis en prenant la liberté de donner cette plante ou de la solder ?... Réponses : Non, non et non, à l'unisson, des travailleurs, du responsable et du gérant, tous en bons camarades !
— Ha Bon, on fait comment ? Ok !!… J’achète la plante au prix fort, pour lui épargner son triste sort. — Allez me chercher cette plante dans la poubelle, je veux cette plante et pas une autre. Je la paye à prix plein. Vous faites comme si c'était moi qui avais cassé le pot, lui dis-je !
Silence. Il réfléchit et me dit, sans gêne, OK. Il demande à une employée de rechercher la plante dans le container, et il me la facture 10 €. Prix plein.
Là, je lui annonce que les 10 € que je vais lui donner, ce n’est pas pour la plante.
— Non ! Et en donnant le billet, je leur dis, à tous, que les 10 € que je donne ici, ce n’est pas pour la plante. La plante, c’est un souvenir, gratuit. Les 10 € que je donne, écoutez bien tous, c’est le contrat que vous signez, ici, tous avec moi, pour que je change ce putain de système d’aliénés dont vous faites allègrement partie. Et je vais vraiment le faire, c'est une promesse. Ces 10 € en sont le témoin et ma charge.
Ils me regardent sans comprendre, et me voilà, avec ma promesse dans leurs caisse, sortant du magasin avec une plante reçue en cadeau. Du coup, moi-même, j'en rigole. L'argent n’a de valeur que ce que l’on lui donne.
Bon, moi j’adore ce genre de défi. Je suis quelqu’un "du spécial", je suis T8 (type8). Problème de formatage à la base. Grâce à ça, à chaque projets, je suis toujours parmi les plus pertinents. Pour moi, c’est facile de faire des paquets, d'identifier des cœurs et d'effacer des croûtes. Je ne suis rattaché à rien et avec les années, je roule sans frein.
Dans ce nouveau projet qui me tombe du ciel, pour changer ce monde, la question numéro un, c’est :
— Comment passer de 3 % de conscients à 53 % d'acteurs ?
Posée comme cela, la réponse est par défaut : Un JEU ! - Après, c'est encore plus simple. Je prétend que : Bien formuler une question, cela prend un certain temps, mais c’est avoir la réponse.
— Ici, pour le coup, j'ai bien tout nettoyé, puis j’ai tout mis dans mon MixerT8 : La Justice, Les X-Files, l’IA, la blockchain, le vivant, l’éthique, le jeu, et surtout l’argent. J’y ai retiré l’humain, trop instable, et j’y ai rajouté du sucre, beaucoup de sucre, car le monde aime le sucre et que c'est du poison, addictif.
Puis j’ai appuyé, super fort, sur le buzzer, pendant 3 ans. Hehehe.
Voici donc la chose promise, mes 10 euros en pâte. Le résultat est déposé ce 5 septembre 2024 auprès de la société des auteurs, et c'est un merveilleux gâteau révolutionnaire. DEUSxMACHINA, la matrice a vérités qui va changer ce monde !
Que vous le vouliez ou pas.
Serge Enchanté
Mais que vaut la parole d’un T8 sans frein, ni casque, et a la dérive ?
En 2 mots : Le T8, c’est une personnalité qui triple sa 1ere primaire et 30 ans après reçoit un Prix International important, et arrive 1h trop tard à la remise officielle.
C’est moi Serge, actuellement le fondateur et le directeur d'une cellule de déformation et de soutien aux créateurs indépendants, de tout horizon. (www.providence.be).
- Moi-même, créateur industriel, concepteur et artiste pluridisciplinaire, reconnu parmi mes pairs. J’ai reçu, pour 30 années d'expérience internationale, cinq titres de professeur supérieur, dans diverses disciplines artistiques. Titres qui ne me servent à rien, car j'aime travailler, j’aime chercher et j’adore trouver. J'ai déposé plusieurs patentes internationales. On m'enseigne dans les universités en architecture et design. J'ai été médaillé d'argent au salon des inventions de Bruxelles avec ma création cu3us®. Invité, en solo, à participer aux plus prestigieuses foires de design de par le monde, dont le Salon Satellite de Milan, pour ceux qui savent ce que c'est. Par ailleurs, j'ai reçu plusieurs Prix Artistique, parmi les plus importants de Belgique (Prix COCOF Médiatine. Prix OMPP Louis Schmidt), etc.. en Peinture ainsi qu’en Design. Bref... (voir mon CV si cela vous intéresse).
Actuellement ma démarche est très précise. Elle s'inscrit dans la continuité d'un travail d’expérience très élaboré de « Déformation », système qui réinitialise la créativité par effacement des artifices, et qui pose les vraies questions. C’est un retour au point zéro+ toutes disciplines confondues, assumé, que je partage avec rigueur à qui veut l'activer et vivre une quête de sens hors du commun, dans ce livre de partage, libre et bienveillant.
J’écris mes projets comme je les peins. Chaque sujet m'obligeant à prendre des rapports aux choses, avec masses, couleurs, tensions, on redimensionne les erreurs. Un tableau n'est pas fini sans un peu de tout. Glacis, lavis, pleine pâte, c'est le subtil combat de la matière, naissante d’un sujet bien concret et dans un espace bien défini... l'ironie c'est que en final, selon un certain fond, je pourrais même faire peindre mes peintures par d'autres, (mais ça c'est une autre histoire).
Pour un T8, ce qui est prioritaire, c’est le raisonnement (le fond), pas la quantité (la forme). Surtout s'ils vont chercher leurs infos sur du mainstream... Le Covid a montré la vraie intelligence : tous les vaccinés sont en fait « les cons du 21e siècle ». et malheureusement, c’est une vraie sélection significative. - Après, vous pouvez faire semblant ou croire l'être avec vos connaissances d'orthographe... Mais quand le temps de raisonner arrive... Merci de quitter la pièce, car vous êtes trop cons et aussi inutile qu’un musicien qui aurait fait cinq années de conservatoire, incapable d’écrire la moindre chansonnette. Voir aussi inutile que la quatrième charnière à une porte. - Qu’est je a raconté? À dire?
Tout ceci montre que plus rien ne peut me faire peur ; que prendre des risques c’est mon devoir, j'adore ça. - Je ne suis pas venu ici, dans ce monde d’aliénés par hasard, ni pour rigoler. - Bien que j'aime voir, avec humour, ce moment où vous souriez et lâchez prise, avec les regards qui plissent et qui mouillent. Remarque : Tous les regards curieux s’ouvrent avec moi. Je le sais, c’est toujours comme ça à la fin. C’est ma façon d'être et de partager mon regard. - Bien, mais je m'éloigne, désolé!. J’imagine toujours que cela a son importance quant à la dynamique de nos actes.
Bref…
Il est clair maintenant que, pour réussir, en général, les autres vous en dissuadent, ou pire, vous conseillent... au nom de leur orthographe, de leur culture. - Quand les coachs, coachs des coachs, qui coachs d’autres coachs Hehehe. Bandes de tarés! - Un conseil : Ne jamais être à la merci des autres, ni de l'orthographe, si ceux-ci ne sont pas tes fidèles et inaliénables assistants. Je ne suis pas fou. Donc, pour le coup, rien à foutre des autres, car je ne vois personne qui s'arrête et qui brille. - C’est ça être un T8, être bien souvent seul et avoir une vision contrôlée simplifier, rapide et efficace, d’une chaîne de montage, au sens large.
Pour le côté « sans frein » : c’est simplement parce que j’y prends de plus en plus de plaisir. C’est ma fonction primaire d’explorer ces sources illimités, mon métier, et je ne pourrais plus fonctionner autrement. Nous n’avons que les limites que l’on se donne ou s’autorise... Eh bien, OK !
En avant toute !
- Changer le système ? - Toi-même et toute ta famille ! Cri un passant…
- Très peu de gens se donnent le droit, ne fût-ce que d’y penser. Changer le système sociétal ? Pour 99 % du monde, cela semble impossible. Ils sont trop formatés, ont trop à perdre, leurs conforts et leurs spiritualités. Impossible d’y émettre un seul doute, étant même devenu une fatalité professionnalisée, enseigner depuis la maternelle.
Pour les 1 % qui restent, ce sont des fous. Dans ces fous, il y a 0.001 % de T8 j’imagine, en gros.
Et bien, ici, je vais démontrer qu'un seul T8, “toujours en gros”, peut modifier les données dites sacrée, et que c’est sans doute la raison qui m'a poussé à écrire ce récit, Une ode à la dynamique des chose, une vraie histoire d’amour avec beaucoup de folies, des bonnes folies, courageuses, critiques, intelligentes et efficaces. Et cerise sur le gâteau, avec des retours sur investissements. J’adore cette phrase.
Tout commence par ne pas faire disparaître ces portes extraordinaires, par des croyances à des propagandes idiotes et castratrices. Il est clair qu'au plus on sait ou croit savoir, au plus ces portes providence disparaissent. - C’est aussi basique que ça. Rien n’est vrai dans ce monde. Les professionnels ne le changeront pas par définition. Le monde change grâce à des gens qui n’ont rien à perdre et tout à redécouvrir en permanence. Il n’y a pas de mauvais sujet, seul compte son bon traitement : chercher son efficience maximale, lui donner sa grandeur, sa noblesse, sans tabou.
Chaque chose a sa place.
Tout ceci pour dire, (comme un grossier personnage), qu’apparemment :
- Ce monde appartient aux T8, et le reste c'est du flan.
Hehehe Pardon.
Serge Enchanté